Je suis entrée dans ta chambre. Ce fut le choc. Toi couché sur ton lit, cette impuissance. Le chat qui passe entre mes pattes. L’odeur
Malgré toutes ses années passées, les souvenirs refont surface brutalement. Mes yeux se remplissent de larmes déjà versées, je me souviens. Un cri se coince
Porter un regard différent. Voir. Un mur. C’est ce que tu frappes. La vitesse ? Maximale. Aucune protection. Imprévisible. Violent. Mon souffle en est coupé.
Je peux vous affirmer qu’il est beaucoup plus facile de parler d’une maladie quand nous sommes rendus dans la phase « après ». Pendant est toujours difficile